When I leave a friend, I’m going home. May be I’m lonely.

No, I’m lonely. So I pick up my pencil and surgit des images du vide.

Mylène, serrant son gros nounours.

Tom, sacs poubelle sous la pluie cévenole.

Lillan, petite sirène sur le chemin.

Elisabeth, première lumière dans la nuit.

Jan, nurse de ma dysenterie interlope.

Linda, méditant dans le soleil roux de septembre.

Laurence, belle à Lure.

Michel, lover dans son écrin de Port Miou.

Anne, jardinière de mon écriture.

Anshou, Alexandrou, bijoux.

Et, tant d’autres.

Tant d’autres à venir.